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Le testament de James Cuthbert en 1798

James Cuthbert père est décédé le 17 septembre 1798. Le 4 août il avait rédigé un très long testament pour léguer ses propriétés à ses descendants survivants en 1948. James Cuthbert était propriétaire des fiefs et seigneuries de Berthier, Saint-Cuthbert, Dautray. Lanoray, Maskinongé, New York (Dusblé) et Dorvillier et de la propriété de White Hall près de Montréal et il en a confié la gestion à 7 curateurs chargés d’en prendre soin pendant 150 ans pour les remettre à ses descendants en 1948.

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Archives notariées des seigneuries Cuthbert (1821-1850)

Emily Rush épouse de Ross Cuthbert

Dans une première chronique j’ai documenté l’histoire des seigneuries appartenant aux frères Alexander, James et Ross Cuthbert entre 1800 et 1821. Alexander est décédé en 1810 et en 1821 Ross, seigneur de Lanauray et Dautray, a cédé les seigneuries de Maskinongé et Dusablé (Newyork) à son fils James junior alors que la seigneurie de Berthier appartenait toujours à l’Honorable James Cuthbert.

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Archives notariées des seigneuries Cuthbert (1800-1820)

James Cuthbert père est décédé le 17 septembre 1798; son fils aîné Alexandre a reçu les revenus de la seigneurie de New-York (Dusablé), du fief de Saint-Jacques ou Chenail du Nord, et de la partie des fiefs Maskinongé et Lornier. James a reçu la seigneurie de Berthier et Ross celles de Lanauray et de Dautray. Les archives notariées permettent de documenter les activités commerciales dans ces seigneuries.

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L’héritage du chevalier de Lacorne et la famille Lanaudière

En 1826 les héritiers Lanaudière au village d’Industrie ont engagé des procureurs pour réclamer leur part des héritages du Chevalier François Josué De La Corne de Chapt leur oncle et de leurs aïeuls Charles François Tarieu DeLanaudière et Catherine Lemoine de Longueil provenant des reconnaissances du Canada en France. Après la Révolution française des indemnités ont été accordées par le roi Louis XVIII pour récompenser les royalistes.

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MacKenzie, Oldham et Compagnie à Terre-bonne

Les frères Henry et Roderick MacKenzie ont d’abord travaillé pour la Compagnie du Nord-Ouest à la traite des fourrures. En 1803 Henry est devenu agent de la seigneurie de Terre-bonne que son frère Roderick a achetée en 1814. Avec Jacob Oldham et d’autres partenaires ils ont formé la société MacKenzie, Oldham & Co. qui a géré les moulins de Terre-bonne. La documentation des greffes des notaires permet de compléter les informations que l’on trouve sur leur histoire dans les archives historiques.

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Histoire de Rawdon racontée par ses notaires

Rawdon

En consultant les greffes des notaires de la région de Lanaudière j’ai trouvé de nombreux actes documentant l’histoire du Township de Rawdon. Ce canton a une histoire particulière, il aurait été peuplé par des anglophones anglais, irlandais et écossais. En faisant une compilation systématique des actes de vente de terrains j’ai pu faire un portrait plus nuancé du commencement de son histoire montrant que de très nombreux canadiens-français de St-Jacques font aussi partie de ses premiers habitants.

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Le village d’Industrie et son organisation municipale

La consultation des greffes des notaires permet de documenter la vie du village d’Industrie avant qu’il ne devienne une ville nommée Joliette en 1864. La plupart des étapes de son organisation en municipalité ont été enregistrés; on trouve dans ces actes notariés des informations très sérieuses et d’autres insolites. Le notaire Jean-Olivier Leblanc a commencé sa pratique à 22 ans au village d’Industrie, il a été le principal notaire de ces années de la naissance de la ville de Joliette.

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Les seigneuries de Dailleboust et de Ramezay ou le fief Jouette

Pierre-Louis Panet

Le fief Jouette a été constitué par Joseph Gautier qui a réuni deux seigneuries concédées en 1736 à Jean D’Ailleboust d’Argenteuil et à Louise-Geneviève de Ramezay situées sur des terres pas encore arpentées. L’Honorable Pierre Louis Panet l’a acquis en 1800 alors qu’il n’y avait qu’une maison dans chacune de ces deux seigneuries. On y retrouve aujourd’hui les villages de Ste-Mélanie, Ste-Béatrix et St-Jean-de-Matha.

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Le bourg de L’Assomption en plein essor

Joseph-Edouard Faribault

Le notaire Joseph-Edouard Faribault a pratiqué au bourg de L’Assomption à partir de 1791 à une époque où ce village devenait le centre commercial régional. Le territoire a alors été colonisé en remontant la rivière L’Assomption et ses affluents vers L’Achigan, Saint-Roch, Saint-Paul jusqu’à la seigneurie d’Ailleboust (aujourd’hui Ste-Mélanie). Barthélémy Joliette, son neveu, a été son clerc de notaire avant de fonder le village d’Industrie.

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Le peuplement de Nominingue de 1881 à 1911

Nominingue a été fondé en 1881 dans le canton Loranger; c’était alors la forêt et on n’y trouvait que des amérindiens et quelques bûcherons. En 1911 Nominingue avait atteint son plein développement avec 1.100 habitants recensés dont de nombreux commerçants, avant de lentement décliner quand tout le bois exploitable avait été exploité et que la ville de Mont-Laurier l’eut remplacé comme centre administratif des Hautes-Laurentides.

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Le recensement du comté de Joliette en 1861

Recensement Joliette 1861

Avant que le Village d’Industrie ne devienne la Ville de Joliette en 1864 un comté avait déjà été nommé en l’honneur de Barthélémy Joliette. Le district du comté de Joliette du recensement canadien de 1861 comprenait la paroisse St-Charles-Borromée, le collège Joliette, le couvent Joliette et les villages avoisinants. Il comprenait aussi le sous-district de Joliette où il n’y avait que des chantiers de bois. C’est un peu mélangeant et j’ai mis du temps à m’y retrouver.

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La succession de Barthélémy Joliette

La veuve Joliette et la succession de Barthélémy Joliette

Barthélémy Joliette administrait la seigneurie de Lavaltrie à sa façon et en 1850 quand il est décédé sa succession a hérité d’une situation très complexe. Une partie des biens seigneuriaux était en propriété indivis et ils avaient servi de caution pour la construction du train. De son vivant personne n’osait l’affronter, sa veuve Charlotte Tarrieu Taillant DeLanaudière a dû rendre les comptes à sa place.

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Plan d’une maison de L’Industrie en 1852

François Benjamin Godin a été un avocat célèbre de Joliette. En 1852 il a été un des premiers à faire construire une maison sur les lots de la terre de l’église que les époux Joliette avaient donnée à la paroisse en 1850. Le plan de cette maison de 2 logements locatifs a été conservé dans le greffe du notaire du village de L’Industrie.

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