Comme l’histoire n’est pas très populaire les sociétés d’histoire des villages du Québec essaient de rejoindre les foules en utilisant les réseaux sociaux. Un réseau social c’est efficace pour communiquer mais il y a quand même des inconvénients majeurs. Depuis des années la Société d’Histoire de Joliette recueille des photos qui lui sont confiées par des particuliers. Quand la SHJL transfère ces photos de ses collections à un réseau social elle les donne bénévolement à ce réseau qui s’enrichit un peu plus.
Facebook est bien pratique mais on paie le service très cher si on y pense bien. C’est pareil avec tous les réseaux sociaux commerciaux. J’utilise des logiciels libres depuis 25 ans et ça me suffit pour m’amuser.
Les multinationales contre les ti-counes
Les contribuables du Québec financent le REM en construction. Pour des raisons que seules les multinationales peuvent expliquer les wagons sont construits en Inde plutôt qu’à La Pocatière au Québec. Le Journal de Montréal nous apprend aujourd’hui que 30% des wagons sont prêts mais qu’ils sont dangereux, mal construits. Les ti-counes se sont encore fait avoir et la Caisse de Dépôts et Placements du Québec est encore dans de beaux draps selon Michel Girard.
Les standards de la communauté Facebook
Tous les prophètes du passé ont dû être jaloux en voyant la Bonne Nouvelle Facebook se répandre sur la Terre en quelques années. Maintenant que c’est la première religion du monde et une institution il faut un Credo, des péchés capitaux et des prêtres. En novlangue ce sont les Standards de la communauté et les modérateurs.
Médias: il aurait fallu y penser avant
En mars 2018 j’avais écrit à l’ombudsman de Radio-Canada pour me plaindre de l’affichage des logos des compagnies privées Facebook et Twitter dans toutes les communications de la Société; on m’avait répondu que j’avais raison mais qu’on ne va pas contre le progrès. Maintenant que ces compagnies ont pris le contrôle de l’information grâce à toute la publicité gratuite à laquelle elles ont eu droit, les médias crient au secours.
Pourquoi J’aime pas
Ajouter un bouton J’aime à un site c’est installer un mouchard sur le site pour permettre à Facebook d’espionner les visiteurs, c’est pratique mais ça a des conséquences. Il n’y a pas de publicité sur mon site et je ne veux pas de scripts dont je n’ai pas le contrôle. Il y a d’autres façons de dire qu’on aime (ou n’aime pas), il suffit de le dire dans les commentaires.
L’Évangile selon Mark Z.
Les philosophes dénonçaient la religion, opium du peuple. La religion a passé, nous sommes libres de conscience, mais ça laisse un vide existentiel difficile à combler. Et puis Facebook est arrivé: « aimons-nous les uns les autres », a annoncé Mark Z.
Petite farce pour mes amis Facebook.