Catégorie: Histoire
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Enquête du parlement sur le chemin de Chertsey 1856

Le 29 mars 1856 un rapport d’enquête est déposé au parlement du Canada-Uni à Toronto à propos du responsable de la construction du chemin de Chertsey, Alexander Daly, agent des terres de la couronne à Rawdon. On y trouve de nombreux témoignages de la vie à Chertsey à cette époque.

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Le village fantôme de Chertsey

Préservé par le temps et peu à peu recouvert par la végétation un village fantôme se cache dans la forêt de Chertsey. C’est une richesse archéologique car dans les autres villages de cette époque de la colonisation (1850) quand le centre du village s’est développé toutes les traces anciennes ont disparu.

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Chemins abandonnés

Vers 1850 la colonisation du canton de Chertsey commence, des chemins sont créés pour permettre l’exploitation des lots et l’occupation du territoire. Certains existent encore, d’autres ont été abandonnés mais on en retrouve quelques traces dans la forêt.

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Vestiges du Village Lafontaine

Le Courrier du Canada 25 juin 1858

Selon les archives la première église de Chertsey était située sur le lot 19 du rang 5 soit près du chemin Irène actuel. Autour de cette église il y avait le presbytère et un cimetière, près du pont le magasin général et l’école et tout autour des maisons de colons et des champs cultivés. Sur la rivière Jean-Venne au moins 3 moulins étaient en activité. On retrouve beaucoup de traces de ces habitations ainsi que des chemins anciens.

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Les moulins du village Lafontaine

Selon les cartes anciennes et les archives il y aurait eu 5 moulins en fonction à Chertsey en 1871. Dès 1860 sur la rivière Jean-Venne il y avait un moulin double (farine et bois) et un moulin à bois. On en trouve encore quelques vestiges entre le pont du chemin Rochon et et le pont du chemin Michel.

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Histoire de Chertsey: fondation

Histoire de Chertsey

L’histoire de Chertsey commence au début du XIXème siècle au fur et à mesure que les basses terres de la plaine du Saint-Laurent devenaient trop peuplées. Terrain de chasse et pêche pour les algonquins et les attikameks, le paysage s’est modifié quand les premiers arrivants ont coupé les forêts de pin blanc et rouge caractéristiques de la région pour le transformer en terres de culture et en prairies.

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